fantasme de l'émasculation

Lorena et Christine la nouvelle gouvernante de Lorena discutent dans le living room pour faire connaissance et parler de la mission de Christine pour servir Lorena. Lors de cette discussion, Lorena et Christine entendent Léa la fille de Christine éclater de rire. 

Chez Lorena, les chambres sont à l'étage. Les couloirs de l'étage donnent sur le living room comme un balcon avec une barrière  en bois et un escalier en colimaçon pour descendre. Léa donc éclate de rire arrive en courant vers la barrière de l'étage et dit à  sa mère en pouffant de rire:

- Maman...Maman...!!! Viens voir. Minucien a sa queue  qui c'est durci en forme de banane. C'est trop marrant.

Christine:

- Je viendrai voir après,  la je parle avec Lorena. Je dois le masturber tout à l'heure.

Lorena:

- Je préfère que vous restez avec moi. On a pas fini de discuter. Demandez à votre fille si elle aimerait pas le branler. Karine est avec elle; elle pourra lui montrer comment faire.

- Léa m'a chérie!!!! Viens voir?

Léa viens et dit:

- Quoi maman?

Christine:

- Tu veux pas masturber Minucien à ma place?

Léa:

- C'est faire quoi?

Lorena appelle sa fille Karine:

- Quoi maman ?

Lorena:

-Tu peux expliquer à Léa comment branler Minucien?

Karine:

- Houuuu!!!! Avec plaisir.

Lorena à Catherine:

- Quand tu as coupé la queue de Minucien, j'ai remarqué que tu as déjà coupé des queues.

Catherine:

- Oui c'était pas le première fois. J'en ai coupé lors de la révolution gynarchique. Mais j'aime pas en parler. J'ai fait des trucs regrettables.

Lorena:

- Allez-y faut tout me dire. Vous êtes mon employée, je dois savoir à qui j'ai à faire. Je vais pas vous virer peut-importe ce que vous avez fait. C'était il y a plus de 20 ans.

Catherine:

- J'ai pratiqué des émasculations comme la dernière des putes. J'ai été une grosse salope.

Soudain Léa coupe le conversation en criant:

- Maman,  c'est quoi ce liquide blanc qui est sorti du sexe de Minucien. C'est dégueulasse, c'est gluant, ça colle, ça pue?

Catherine:

- Va te laver les mains. On t'expliquera plus tard. Tout est normal.

Catherine continue d'expliquer à Lorena:

- A l'époque j'avais 20 ans. On était une bande de jeunes filles entre 17 ans et 21 ans. On était une quinzaine. Notre truc repérer un ado isolé l'attraper et on l'amenait chez l'une de nous. On le foutait à poil et on lui coupait la queue. Généralement celle qui lui coupait la queue était chez celle chez qui on amenait l'ado. Ensuite on mettait plusieurs boîtes coupées au congélateur et ensuite on les bouffait.

Lorena:

 - Continuez

- choisissait que des ados. Sauf les moins de 15 ans. Mais si il n'avait pas de pièces d'identité on s'en foutait. Mise à poil et on coupait quand même sa queue. Notre but c'était de couper la queue des petits puceaux. Sur le nombre on a du sûrement coupé la queue à des gamins qui n'ont jamais baisé et qui n'auront jamais baisés. On rigolait comme des connes quand on coupait la queue d'un ado. Mais on a été une fois trop loin.

Lorena:

- Vous avez fait quoi?

Catherine :

- On fêtait notre centième ados émasculés. On avait trop bu. On c'est dit allons dehors couper une bite. On a croisé un gamin. On la emmené chez une de notre bande. Elle avait une fille de de son âge. La mère a mis le gamin à poil et elle a demandé à sa fille de faire ce qu'il y avait à faire. C'est la que j'ai compris à quel point j'étais une vraie salope.

Catherine continue:

Quand la révolution gynarchique arrivait à son terme, je surprend un homme d'une trentaine d'années cachés derrière un buisson. Bien sûr il avait peur pour sa queue. Il me suppliait de l'épargner. Je lui proposait d'être mon larbin à condition d'être toujours à poil. Pendant la journée il m'a fait les tâches ménagères. Pour le récompenser, je lui ai dit de me faire l'amour. Ce qu'il eu fait. Même très bien. Mais à peine qu'il sorti sa queue je la lui  coupait. J'avais mis un couteau coincé entre le matelas et le dossier du lit. Là encore je fut vraiment  une salope. Je l'ai viré de chez moi sans sa bite que j'ai broyé au mixer. Bref j'ai été une grosse salope.

Lorena:

- T'es pas la seule. Moi aussi j'avais été une grosse salope. Avec les copines ont foutait les mecs à poil et on leur coupait tout. La bite et les couilles. En plus on faisait çà dehors pour leur foutre la honte.

Catherine:

- Nous on a fait ça à un gamin. Je suis vraiment une pute.

Lorena:

- Dans les banlieues chez les musulmans. La révolution gynarchique se faisait en famille. La mère, la grand-mère, les sœurs, les cousines ont émasculés avec l'aides d'autre musulmanes les pères, les frères, les cousins. Les sœurs surtout se foutaient de l'âge de leurs frères. Souvent des p'tits puceaux sans queue à vie. 

Catherine:

- effectivement, j'étais loin d'être la pire des garces. Et votre premier mari à qui vous avez coupé la queue?

Lorena:

- C'est le premier qu'on est allé cherché. Je l'ai foutu à poil et je lui ai tout coupé. Sa queue et ses couilles. Cette fois il a pas pu récupérer sa bite. La semaine prochaine, votre fille et vous, irez au centre des pénis suivre un cours sur le pénis. Ce sera une piqûre de rappel pour vous. Pour votre fille se sera une bonne formation sur la connaissance des penis. Et nous sommes des salopes. Soyez fière comme moi. Les hommes ne sont plus que des larbins qui mérite pas leur queue.

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