Le blog du fantasme de l'émasculation

     

 

Après l'Afrique noire, c'est le monde musulman qui vit sa révolution gynarchique. Révolution amorcée dans les pays d' Afrique noire à majorité musulmane pour se rependre ensuite dans le monde arabe et l'Asie. Les hommes des pays musulmans ont payé très cher leur domination qu'ils ont eu sur les femmes depuis des siècles. Le pire c'est passé dans les pays comme l'Iran, l'Arabie saoudite, le Pakistan ou l'Afghanistan là où les femmes ont été traitées comme des sous-merdes forcées à porter la burqa et victimes de lapidations ou de coups fouet pour un oui ou pour un non ou pour des pseudos crimes qu'elles n'ont pas commis où qui sont lapidées mêmes si elles ont été victimes de viol. Dans le Maghreb les femmes ont aussi fait payé chèrement les hommes.

 

Le mot d'ordre des femmes révolutionnaires musulmanes était " coupons leurs tous les couilles, ne leur laissons rien pendouiller entre les jambes ".  Pour émasculer et castrer les maâles, le rituel est le même que dans les autres révolutions gynarchiques. Les hommes sont mis à nu. Mais avec les musulmanes, ils sont systématiquement battus violemment et torturés aux parties génitales avant des les leurs couper. Beaucoup de femmes musulmane ont émasculé et castré des hommes en burqa en les fixant bien dans les yeux. Les femmes musulmanes savent que mettre à poil un homme qui plus est dans la rue et le battre est des plus humiliant. Mais l'humiliation devient encore pire quand elles les castrent et les émasculent.

 

Beaucoup d'émasculations ont lieu dans le cadre familiale. Beaucoup de mères avec leurs filles ont émasculé le chef de famille. Des soeurs qui émasculent leurs frères. Des mères qui émasculent leurs fils ou leurs neveux.  Les enfants sont généralement épargnés. Mais pas toujours. Des fillettes de 12 ou 13 ans ont coupé le pénis de leurs petits frères de 10 ou 11 ans. Les imams sont les hommes les plus torturés du sexe avant l'émasculation.

 

Tout les organes génitaux mâles suite aux émasculations massives dans le monde musulmans qui est en train de devenir " le monde des musulmanes " sont systématiquement transformés en denrées alimentaires. Les pénis sont écorchés et hachés pour en faire des merguez et les bourses des couilles sont farcies avec des testicules hachés qui ensuite son frit dans des bacs à huile. Les musulmanes les nomment " les couilles marocaines ". Quand la gynarchie a pris le pouvoir, les émasculations et les castrations n'ont pas ralenti. Les merguez de pénis et les couilles marocaines sont exportés dans toutes les gynarchies du monde. Ces exportations de mets aux organes génitaux mâles rapportent beaucoup à la gynarchie. Mais vient vite le revers de la médaille. Plus du 95% des mâles en âge de procréer ont été émasculés et castrés par les femmes. Les femmes musulmanes suite à des siècles de soumissions envers les hommes hommes ont eu effectivement la main très lourde pour se venger. La nouvelle gynarchie a du faire stopper les émasculations et les castrations car le péril pour les futurs descendances était devenue très grave. C'est la seule révolution gynarchique qui a été trop loin dans les émasculations des mâles. 

 

Pour assurer les nouvelles descendances, les gynarchies du monde entier ont prêté des milliers de larbins qui ont du baiser les musulmanes jours et nuits pendant trois ans. Aujourd'hui le taux de mâles ayant leurs organes génitaux est passé à 50%. Les eunuques quand à eux; ils ont été au services des nouvelles Maîtresses émasculatrices musulmanes dans de gigantesques harems.

 

Dans la gynarchie musulmanes, il y a des écoles de Maîtresses émasculatrices qui suivent ensuite une école d'humiliatrices. Les femmes musulmanes qui ont pris le pouvoir dans tout le monde arabo-musulmans sont devenues aussi les meilleurs spécialistes dans l'humiliation des mâles. Faire payer durement les mâles qui ont humilier les femmes durant des siècles. Prochainement, plusieurs Maîtresses humiliatrices musulmanes seront invitées chez nous pour dispenser des cours d'humiliation sur les larbins. J'ai l'impression que je vais à nouveau passer à la casserole.