Le blog du fantasme de l'émasculation
Les " négresses " est le nom que ce sont données les femmes révolutionnaires de couleur noires lors de la révolution gynarchique en Afrique du sud. Mais contrairement à ce beaucoup croient, la révolution en Afrique du sud n'a pas été provoquées par les femmes de la communauté noires, mais pas un un groupe de féministes blanches radicales. C'est ensuite que les femmes de la communauté noires ont rejoint le mouvement révolutionnaire pour ensuite sous le nombre de prendre les commandes sous la direction d'une reine auto-proclamée zoulou au nom de Nosipho une féministe émasculatrice aux idées radicales.
La révolution gynarchique en Afrique du sud survient 6 mois après celle de Thaïlande dont cette dernière et la première gynarchie au monde. Les débuts de cette révolution gynarchique n'était pas plus radicale que la révolution qui a eu lieu chez nous. Les premières émasculations furent surtout contre les condamnées pour violes, pédophilie ou pour des agressions sexuelles. Des femmes trompées ou supposées trompées émasculèrent leur mari. Des hommes noirs ou blancs sans passé judiciaire furent aussi émasculés dans la rue ou chez eux par des féministes révolutionnaires. Comme dans toutes les révolutions gynarchiques, les hommes furent à chaque fois mis à nu pour subir l'émasculation. Mais la radicalisation extrême de la révolution gynarchique a commencé quand la communauté des femmes noires est devenues dominantes par le nombre avec à leur tête la reine zoulou Nosipho.
Nosipho est une jeune zoulou de 27 ans. Féministe radicale et très raciste contre les blancs plus particulièrement contre les hommes blancs tout âge confondu. Elle toléra la participation des femmes blanches à la révolution gynarchique. Mais une fois la révolution finie, les femmes blanches étaient devenues des femmes de seconde zone. Elles ne pouvaient pas être Maîtresse et n'avaient pas le droit d'émasculer un larbin. Beaucoup de femmes blanches étaient devenues gouvernantes au service d'une Maîtresse. Cette radicalisation extrême de la révolution gynarchique est amorcée lors d'un discours de Nosipho devant plus de 300'000 " négresses " et retransmis à la télé dans tout le pays. Voici un extrait de son discours radical:
- Chères " négresses ". Nous allons gagner la révolution et prendre le pouvoir. Nous continueront à émasculer des mâles tant que cela sera nécessaire. La fin de l’apartheid a mis fin au pouvoir des blancs. Nous, nous allons mettre fin au pouvoir des mâles. Dés maintenant je lance un appel aux millions de mes soeurs " négresses " révolutionnaires. Je veux que l'on en finisse une fois pour toute avec les mâles blancs. Je veux mes soeurs que vous fassiez la chasse aux mâles blancs. Et que chaque homme blanc capturé soit mis à nu puis émasculé et castré. Oui mes soeurs de couleur; je veux que vous leur coupiez les couilles et la bite afin qu'ils ne leur reste plus rien. Je ne veux plus aucun mâle blanc avec une queue et des couilles qui pendent. Les mâles blancs deviendront nos esclaves. Ils seront toujours à poil et nous les traiteront comme des merdes et des moins que rien. Ils feront les plus sales besognes. Ils nous lécheront nos chattes et nos cul quand ils sont sales. Seules les enfants blancs seront épargnés jusqu'à l'apparition de leurs premiers poils pubiens. Et ensuite ils seront ensuite émasculés et castrés et réduit en esclavage. Moi depuis le début de la révolution j'ai coupé les couilles à 250 mâles blancs. Je veux vous mes soeurs que vous fassiez pire que moi. Foutez-les à poil et coupez leurs couilles et leur sexe et mangez-les.
Une fois le discours terminé, Nosipho devant la foule et devant les caméras émascule et castre un homme blanc nu et attaché et présente main levée à la foule et aux caméras les organes génitaux du mâle blanc qu'elle vient de couper. Ce qui provoque une immense liesse de la foule de femmes noires. Nosipho crie que ce sera lui son premier esclave blanc. Et s'en suit les jours et les semaines suivantes une véritable chasse aux mâles blancs. Les femmes noirs qui capturent un blanc sont impitoyables. Souvent avant de leur couper leurs organes génitaux, les mâles blancs qui ont été mis à nus sont battus, torturés du sexe et des couilles. Certaines tortures durent des heures. Des mâles blancs sont capturés mis à nu et emmené dans des tribus où les femmes ont pris le pouvoir. Le mâle blanc est nu et attaché au milieu du village. Avant de l'émasculer et de le castrer les femmes font des danses tribales autour du prisonnier et lui font des trucs de sorcellerie aux pénis. Vient ensuite deux femmes qui l'émasculent et le castrent devant toutes les femmes de la tribu. Les organes génitaux sont ensuite cuits et mangés.
Dans cette chasse à l'homme blanc une fois les organes génitaux coupés, les " négresses " mangent toujours le sexe et les testicules. Nosipho dans son discours avait demandé que les organes génitaux des mâles blancs soient mangés une fois qu'ils ont été coupés.
Lors de prise du pouvoir par les " négresses " aucun mâle blanc n'a échappé à une émasculation et à une castration en règle. Les mâles qui ont essayez de fuir par la frontière ont subit le même sort dans le pays voisin. Les pays frontaliers de l'Afrique du sud sont aussi en peine révolution gynarchique et les mâles blancs sont mis à nus et subissent les pires sévices par les féministes noires révolutionnaires avant d'être émasculé et castré et leurs organes génitaux mangés.
Une fois la gynarchie africaine du sud mis en place, les femmes noires sont classées en deux catégories. Maîtresses et Maîtresse émasculatrices. Mais pour cela elles devront faire une école de Maîtresse obligatoire. Les femmes blanches sont affranchies mais ne peuvent pas avoir le titre de Maîtresse et n'ont donc aucun droit à pouvoir émasculer un larbin.
Les hommes sont classés en deux catégories. Les noirs sont devenus des larbins à la propriété des Maîtresses et en étant obligatoirement à poil en permanence. Les blancs qui ont tous leurs organes génitaux coupés sont devenus des esclaves pour faire les sales besognes. Les femmes noirs les appellent: " les merdes blanches sans couille ". Pour se soumettre à leur Maîtresse, les esclaves blancs doivent en fin de journée lécher la chatte sale et le cul sale de leur Maîtresse.
La gynarchie sud africaines fut le model gynarchique qui a été appliqué pour chez nous. Droit, justice, institutions etc... Centre de reproduction, centre des émasculations, institut féminine des études du pénis et Palais des gouines etc...
La révolution gynarchique en Afrique du sud une fois amorcée, c'est propagée sur tout le continent africain. Mais elle ne s'est pas arrêtée- là. Mon prochain récit parlera de la révolution gynarchique dans les pays musulmans. Appelé aussi la révolution des merguez. C'est la révolution gynarchique qui a failli aller trop loin dans les émasculations et les castrations.