Le blog du fantasme de l'émasculation

 

Piquer une enveloppe contenant 70'000 euros ça aurait pu me mettre à l'abri un bon moment si je les avait pas oublié connement sur un banc publique. Evidemment, l'enveloppe n'y était plus quand j'y suis retourné 10 minutes plus tard. Ce vol et cet oubli sera aussi le début de gros ennuis. En effet le lendemain dans la rue, quatre femmes sortent d'une voiture et l'une d'elle me dit:  

 

 

 

- Monte dans la voiture sans discuter ma patronne veut te voir.

 

 

 

Elle écarte sa veste pour me montrer qu'elle était armée d'un pistolet. J'avais pas trop le choix d'obéir et j'avais un pressentiment que cela pourrait bien être en rapport avec cet enveloppe rempli d'argent que j'ai volé dans un bar à une personne. J'avais profité d'un moment d' inattention de la personne pour voler ces 70'000 euros. Je savais que cette enveloppe contenait de l'argent. Mais pas autant. Mais j'en sais pas plus sur la destination où m'en mènent ces quatre femmes. Chaque fois que je leur pose une question elles me disent de fermer ma gueule. En sortant de la ville, une des femmes à côté de moi me bande les yeux pour que je ne puisse pas savoir l'itinéraire que prennent ces femmes.

 

 

 

Après 20 minutes la voiture s'arrête. elles me font descendre de la voiture. On entre dans une maison. On m'enlève le bandeau que j'avais sur les yeux. Nous sommes dans une grande maison luxueuse à l'ancienne. Nous montons à l'étage. Nous entrons dans une grande pièce. Je me trouve en face d'une dame de caractère assise  sur un divan d'époque  jambes croisées dans une robe bleue marine  laissant apparaître ses cuisses. La femme qui m'a abordé dans la rue lui dit:

 

 

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- C'est lui patronne. 

 

 

 

La patronne me dit:

 

 

 

- On m'appel la baronne. Je dirige une affaire. Ces quatre femmes sont ma garde personnelle. Celle qui t'a fait venir jusqu'ici s'appel Vanessa. Elle est mon bras droit. Si tu es ici, c'est que tu as quelque chose qui m'appartient. Tu me rend ce que tu m'a volé et je serais indulgente et tu sortiras libre d'ici.

 

 

 

Minucien:

 

 

 

- Vous parlez de l'enveloppe qui contenait 70'000 euros?

 

 

 

La baronne:

 

 

 

- C'est ça oui. 

 

 

 

Minucien:

 

 

 

- Je l'ai plus. On me l'a volé. 

 

 

 

La baronne:

 

 

 

- ça va être embêtant pour toi ça. Si tu as perdu cet argent, ou que tu me ment pour le garder il va falloir me rembourser. Su tu pourras jamais me rembourser; il faudra que ta punition soit pour toi égal à la somme que tu me doit. 

 

 

 

La baronne dit à ses femmes de main:

 

 

 

- Foutez-le moi à poil et menottez- lui les mains derrière le dos.

 

 

 

Vanessa me dit:

 

 

 

- Allez fout toi à poil et magne toi. Aidez-moi les filles à le foutre à poil, sinon il y en aura pour des heures.

 

 

 

Les quatre femmes me déshabillent en moins de deux. Je me retrouve totalement nu devant la baronne qui me dit:

 

 

 

- Tu l'as encore cet argent oui ou non? Si tu l'a toujours t'as encore le temps de me dire où il est. Comme je te l'ai dit je serais indulgente.

 

 

 

- Non je suis désolé, j'ai plus cet argent.  

 

 

 

Mon jardiner l'autre jour m'a fait perdre 20'000 euros. Comme son salaire  lui était insuffisant pour me rembourser; je l'ai puni de façon à ce que sa punition soit égal à la somme qu'il me devait. Je lui ai fait couper ses deux pouces. Et je l'ai viré. Sans ses pouces, il m' est devenu inutile. Mon ancien chauffeur, m'a piqué 30'000 euros pour rembourser une partie de ses dettes qu'il a emprunté pour construire sa maison. Pareil, il ne pouvait pas me rembourser. Pour 30'000 euros; je lui ai fait couper ses deux oreilles et son auriculaire. Donc pour cet argent; tu me dit toujours que tu ne l'a vraiment plus?

 

 

 

- Oui je l'ai plus et je pourrais jamais vous rembourser. Qu'est-ce que vous allez me faire?

 

 

 

La baronne se lève et s'approche de moi en disant:

 

 

 

- Pour 70'000 euros tu vas devoir te faire couper quelque chose d'inestimable pour toi. Mais quoi?

 

 

 

A peine que le baronne fini sa phrase qu'elle me saisi le sexe avec sa main et me dit:

 

 

 

-  ça pour toi; ça vaut bien 70'000 euro non? 

 

 

 

Minucien:

 

 

 

- Vous n'allez quand même pas me couper le sexe?

 

 

 

Les quatre femmes de mains de la baronne sourient et se marrent un peu. Et la baronne en retournant sur son divan me répond:

 

 

 

- Mais non je ne vais pas te couper le sexe.

 

 

 

Minucien:

 

 

 

- Ouf Merci.

 

 

 

La baronne s'assois et dit:

 

 

 

- Vanessa!!! Coupe-lui sa queue et ramène là - moi sur un plateau.

 

 

 

Les quatre femmes de mains de la baronne m’amènent de force dans une pièce à côté. J'essaie de résister. Mais j'ai à faire à des sportives qui ont beaucoup de force. Et pendant qu'elles m'emènent et que je résiste je crie:

 

 

 

- Nooooonnnn!!!!! Pitié pas ça. Nooooon!!!!! pas ça, lâchez moi arrêtez je veux pas noooonnn!!!!!! Je veux pas. Pas mon sexe. 

 

 

 

En arrivant dans l'autre pièce Vanessa et les 3 autres femmes continuent de me traîner de force et moi je continue à crier:

 

 

 

- Nooonn!!!!! nooon!!!!! arrêtez je veux pas qu'on me coupe le sexe. Pitié ne me faites pas ça, non non pas mon sexe. Lâchez-moi je veux pas me faire couper le sexe.

 

 

 

Dans la pièce se trouve une grosse table de 80 centimètres de haut avec des sangles pour attacher les mains et les chevilles. Vanessa donne l'ordre à l'une de ses colègues de m' enlever les menottes. Vanessa me chope les couilles et les serre en me disant:

 

 

 

- On va t'attacher sur la table pour que je puisse te couper la queue. Si tu résistes, je t'écrases les couilles avec ma main.

 

 

 

Sous la douleur je me laisse attaché. Mais je continue à leur supplier.

 

 

 

- Faites pas ça s'il vous plaît. Ne me coupez pas le sexe. Laissez-moi partir. Pas mon sexe s'il vous plaît. 

 

 

 

Vanessa et les autres trois femmes ont fini de m'attacher. Je suis à poil bien attaché les bras écartés ainsi que mes jambes. Et je continue à leur dire:

 

 

 

- Non, ne me coupez pas le sexe. Je veux pas. faites pas ça. Arrêtez. Ne me coupez pas le sexe s'il vous plaît.  

 

 

 

Vanessa me saisi le sexe avec sa main et de l'autre main sort un couteau à cran d'arrêt. Pendant que Vanessa me tient le sexe avec sa main elle dit à l'une de ses collègues:

 

 

 

- Déborah s'il te plaît. Apporte moi le petit plateau en argent. Quand j'aurai coupé son sexe, je le poserai dessus pour l'apporter à la patronne. Et moi je dis:

 

 

 

- Lâchez mon sexe. Je veux pas me la faire couper. Non pitié pas ça. 

 

 

 

Vanessa tout en me tenant le sexe avec sa main me dit:

 

 

 

- Ici sur cette table j'ai coupé des doigts ou des oreilles. Mais tu seras le premier à qui je vais couper la bite. Mon couteau est bien aiguisé se sera vite fait. Prépare toi à avoir mal je vais couper ta queue maintenant.

 

 

 

Au moment qu'elle me dit cela moi je crie d'effrois:

 

 

 

- PAS çA NOOONNNNNN!!!! NOOONNNN!!!!

 

 

 

Vanessa commence à me couper le sexe gentiment avec un léger sourire. Elle me le coupe tranquillement et moi je hurle:

 

 

 

-RRAAAAAAAHHHHHH!!!!!! ARRRRÊÊÊÊÊÊTE!!!!! RRRAAAAAAAAAHHHH!!!!! SALE PUTE!!!! çA FAIT MAL BORDEL. HAAAAA!!!!! 

 

 

 

De l'autre côté la baronne sourit en écoutant mes hurlements quand Vanessa me coupe le sexe. Les trois autres femmes rigolent. Vanessa a terminé de me couper le sexe. Ce fut assez rapide même si j'ai eu l'impression que cela durait une éternité. et je dit:

 

 

 

- Merde vous avez coupé le sexe. Vous êtes une bande de salopes. Pourquoi m'avez-vous fait ça? Je suis humilié.   

 

 

 

Vanessa avec mon sexe coupé dans sa main me dit:

 

 

 

- Fallait payer ta dette. C'est fait tu es libre. 

 

 

 

Vanessa dépose mon sexe sur le plateau que Déborah lui tend. Vanessa va l'apporter à la baronne. J'entend la baronne lui dire: 

 

 

 

- C'est bien Vanessa joli travail. Pose le plateau sur le dressoir. Faites lui un pansement et jeté-le à l'entrée des urgences du CHU. Soyez discrètes. Ne vous faites pas choper.

 

 

 

Elles m'ont largué aux urgences à poil devant l'entrée. Je m'en suis sorti. mais j'ai plus de sexe. Un sexe qui m'a coûte 70'000 euros.   

 

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( Vanessa, la femme qui m'a coupé le sexe )

 

 

 

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( Déborah )

Lun 19 nov 2018 Aucun commentaire